En République démocratique du Congo (RDC), l’organisation Amnesty International a pointé du doigt l’entreprise Ivanhoe Mines, qui exploite du cuivre dans le pays. Celle-ci est accusée d’avoir « compromis les droits humains de centaines de personnes » dans ce pays africain. En 2017, la société a expulsé des centaines d’habitants pour développer le site minier de Kakula, tout en promettant de construire à ses propres frais 45 maisons de réinstallation. Les habitations de substitution se sont retrouvées trop petites, n’étant équipées ni «d’eau courante, ni d’électricité, ni reliées à un système d’égouts».