Les villes ne doivent pas nécessairement être des jungles de béton

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Pendant que la population des villes continue de croître, les pays, notamment ceux d’Afrique doivent trouver rapidement des moyens efficaces pour une urbanisation résiliente et durable.

La crise environnementale oblige à agir urgemment, intelligemment, et stratégiquement. Plus de la moitié de la population mondiale vit dans des villes. D’ici 2050, l’on prévoit que deux personnes sur trois vivront dans un centre urbain.

Les villes consomment 75% des ressources de la planète, produisent plus de la moitié des déchets et génèrent au moins 60% des émissions de gaz à effet de serre.

Lorsqu’elles s’étendent, les villes transforment le monde naturel qui les entoure, ce qui peut entraîner des sécheresses et la dégradation des sols. Mais les villes ne doivent pas nécessairement être des jungles de béton.

Les forêts urbaines peuvent améliorer la qualité de l’air, fournir plus d’ombre et réduire le besoin de refroidissement mécanique. Cela permet aussi de lutter contre les inondations.

La préservation des canaux, étangs et autres plans d’eau des villes peut atténuer les vagues de chaleur et accroître la biodiversité.

L’installation d’un plus grand nombre de toits et de jardins verticaux dans les bâtiments peut constituer un habitat pour les oiseaux, les insectes et les plantes.

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